si no te anda es porq no te gusta dragon ball que lastima no aceptamos a los que no les gusta jeje
 

Super noticias
Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans, le test complet sur Nintendo DS
elias el 09-11-2009, 14:42 (UTC)
 Il fut une époque pas si lointaine où la simple idée de voir Dragon Ball Z adapté en jeu de rôles faisait briller les yeux des fans. Prenez le tout premier DBZ Super Famicom, un jeu d'une sécheresse invraisemblable et pourtant adulé par toute une génération. Autant dire que la perspective de retrouver ses héros favoris dans un tout nouveau RPG sur DS avait de quoi fédérer tous ceux qui, hier et aujourd'hui, ont vibré pour l'oeuvre de Toriyama.









Comme Gundam, Ken le Survivant ou plus récemment Evangelion, Dragon Ball fait partie de ces filons inépuisables qui seront exploités jusqu'au prochain millénaire au moins. Preuve en est la diffusion de Dragon Ball Kai depuis le printemps dernier au Japon, un nouveau montage du dessin animé qui se veut plus fidèle au manga de Toriyama, en couvrant l'intégralité de la période Z en un condensé d'une centaine d'épisodes. C'est évidemment l'excuse toute trouvée pour voir renaître le phénomène sous forme de produits dérivés, dont Dragon Ball Z : Attack of the Saiyans fait partie. Comme son nom l'indique, le jeu couvre le premier arc scénaristique du manga, qui s'étend du 23ème tournoi des arts martiaux et Piccolo Jr. à l'arrivée de Vegeta et Nappa, venus mettre la main sur les sept boules de cristal tout en vengeant l'honneur de Raditz. Saucissonné de la sorte, on pouvait craindre que l'adaptation en RPG tourne au fiasco, mais en faisant appel à Monolith (Xenosaga), Namco Bandai misait sur un prestataire de qualité. La 2D mignonne ne trompe pas, comme les nombreuses vignettes utilisées pour illustrer les combats : voilà un jeu qui a été réalisé par des passionnés, pour des passionnés.

Trou noir des enfers


Le système de combat reste dans les grandes lignes typiques des RPG japonais au tour par tour, avec le choix parmi différents types d'actions classiques. Monolith oblige, on peut néanmoins compter sur une ou deux finesses pour tromper l'ennui. La première tient aux attaques combinées, qui surviennent quand deux de vos combattants ont un gros Sparking! marqué sur leur jauge de fureur. Les conditions ne sont pas toujours très claires, mais les effets dévastateurs. L'intérêt des phases de défense est également rehaussé par un système de parade active ; en appuyant sur le bouton qui lui est associé dans le bon timing, votre personnage pourra réduire nettement les dégâts encaissés. Et vu la puissance de certains ennemis, on comprend que les combats du jeu ont été calibrés pour prendre cette donnée en compte. Attack of the Saiyans laisse également la main au joueur pour améliorer les compétences des Yamcha & Cie, libre d'attribuer les points de stats bonus et d'améliorer les compétences comme il le souhaite, dans la limite des stocks disponibles. Ainsi, certaines techniques ne seront accessibles qu'à condition d'avoir atteint le niveau requis dans une ou deux catégories. On apprécie d'ailleurs les efforts réalisés pour maintenir un équilibre entre les stats des personnages tout au long du jeu. Sangoku et Piccolo seront toujours favorisés niveau stats, ce qui en fait des personnages incontournables dans l'équipe (3 maximum). Enfin, comme tout bon RPG bien conçu, le titre de Monolith incite à retourner explorer les environnements déjà visités, avec l'intrusion d'obstacles destructibles, qui demanderont d'améliorer sa jauge de Ki pour être franchis, ou d'attribuer le bon item le cas échéant.


En résumé, Attack of the Saiyans est un bon petit RPG bien conçu sous tous rapports, certes très classique mais difficile à prendre en défaut. C'est vrai que la fréquence des combats donne parfois envie de foncer droit au point de sauvegarde - avec refill de vie comme au Burger King -, et que la résistance de certains ennemis aurait mérité d'être par moments revue à la baisse. Mais sur le plan de la conception, le jeu est inattaquable. Le problème est ailleurs. En se focalisant sur une période aussi restreinte de l'oeuvre, les concepteurs ont fatalement été obligés de délayer pour faire tenir leur RPG dans le canevas "20 à 30 heures de jeu". Tout le contraire de la série Dragon Ball Kai, en fait. Alors forcément, croiser Lunch ou le chef du gang des lapins quand on sait que Vegeta et Nappa ne vont plus tarder à débarquer sur Terre paraît un peu hors-sujet, tout comme l'intervention d'un personnage comme Broly en guise de mega-boss increvable. Les voies du fanservice sont impénétrables. Et on a toujours du mal à concevoir que des personnages surhumains se retrouvent bloqués par un pauvre rocher ou une coulée de lave quand ils sont capables de voler ou de pulvériser des montagnes... Nul doute que les développeurs se sont également posé ce genre de questions, et c'est vrai que le rythme comme la crédibilité de l'aventure en pâtissent. Le début de l'aventure donnerait presque envie de s'ouvrir les veines, car qui a envie de se coltiner Krilin, Yamcha et Tenshinhan seuls pendant minimum 3/4 d'heure chacun ? Cela dit, les passages marquants de la trame originale sont bien retranscrits, et on apprécie les innombrables vignettes stylées qui les accompagnent. Voir Goku empoigner Raditz pendant que Piccolo prépare son Makankô Sappo avant de beugler le nom de l'attaque, c'est aussi ce que l'on attendait du jeu. Le contrat est respecté, avec les voix japonaises en prime. Dommage que le jeu s'en soit tenu à une version écourtée de Dragon Ball Z. Mais il fallait sans doute préparer le terrain pour des versions ultérieures
 

Dragon ball:Raging Blast juego PS3
elias el 09-11-2009, 14:40 (UTC)
 Duros golpes, numerosos luchadores y energía de destrucción, la nueva onda vital de la saga.

El nuevo Dragon Ball Next-Gen ya está entre nosotros, y a pesar de que nos mostrábamos esperanzados por un posible salto cualitativo lo cierto es que Raging Blast es peligrosamente similar a su anterior entrega, Burst Limit. Más personajes, sí, pero pocas ideas y, sobre todo, la sensación de que se podía haber hecho mucho más con las dos últimas entregas de esta franquicia.

Los Dragon Ball de PlayStation 2 y Wii fueron, en su gran mayoría, fenomenales videojuegos de lucha que muy a menudo desafiaban las limitaciones de hardware de sus plataformas para ofrecer unos espectáculos de combate no sólo tremendamente brillantes en su faceta visual, sino también desequilibrantes en cuanto a número de personajes, posibilidades jugables y, sobre todo, diversión.


Sin embargo con el salto a la nueva generación toda la imaginación y el abanico de posibilidades han desaparecido de un plumazo. Como si la saga deseara resetearse para volver a iniciar ahora desde cero el aumento progresivo de los luchadores, características y diversión en la Next-Gen, Burst Limit fue un chocante paso hacia atrás.


En esta ocasión tenemos entre manos la segunda entrega de Dragon Ball para consolas de nueva generación, y desgraciadamente las conclusiones que se desprenden de la experiencia con ella son muy similares o incluso peores. ¿Cómo puede traer consigo una peor nota Raging Blast de la que en su día tuvo Burst Limit? Hay algunas mejoras como la interacción con el entorno, sin embargo otros elementos son incluso peores y el número de personajes sigue sin resultar particularmente impactante para lo visto en el pasado, y por si fuera poco cuenta con notables omisiones. Sin embargo lo que verdaderamente resulta molesto es el escaso esfuerzo por parte de Namco a la hora de empezar a sacar partido de una marca que podría deparar unos resultados artísticos y jugables extraordinarios.




Mundo Kaiyoshin, Juego de Célula, Ciudad Abandonada… Los diez escenarios están bien retratados, pero les falta algo de vida y acusan cierta desertización. El Planeta Namek tiene dos versiones, normal y en ruinas.

Explosión de Furia
Una de las claves de un título de lucha son sus modalidades jugables, y si bien lo cierto es que pasaremos la mayor parte de nuestro tiempo en Xbox Live y PlayStation Network midiendo nuestras fuerzas contra jugadores de todo el mundo, la verdad es que también podemos volcar nuestro interés en la campaña individual y en el resto de ofertas off-line con las que cuenta el videojuego.


El Modo Campaña de Raging Blast pivota entorno a lo que hace en llamarse Colección Batalla Dragón, una serie de módulos de historia que nos cuentan diferentes retales del universo Dragon Ball. En la saga Saiyan, por ejemplo, Goku y sus amigos combaten contra Vegeta por el destino de la tierra. Por su parte en la Saga Freezer Goku y los Guerreros Z combaten contra el villano galáctico Freezer en una pugna por las bolas de poder de Namek. La saga Bardock nos cuenta la historia del padre de Goku, el propio Bardok, en su lucha de poder contra el malvado Freezer. En la saga Androides, éstos están empeñados en acabar con Goku, y los Guerreros Z se enfrentan contra ellos. La Saga Monstruo Bu tiene a esta criatura como principal antagonista, puesto que acaba de abandonar su encierro y se enfrenta a los Guerreros Z. Broly, el Super Saiyán Legendario planta cara a los Guerreros Z en la saga del mismo nombre. En última instancia hay también una serie de historias alternativas de similar corte pero diferentes situaciones y personajes.




La cámara es francamente pobre durante los combates, sin embargo al lanzar ataques especiales adopta rápidos movimientos y planos cortos que dotan al título de enorme espectacularidad.

Todas estas sagas incluyen un prólogo, un epílogo y diferentes combates; y oscilan en número entre los dos enfrentamientos de la Saga Bardock y los más de 20 de otras como la Saga Freezer.


Sin embargo será con el modo versus, con los torneos y con los modos a través de Internet donde, a buen seguro, pasaremos más tiempo. En este tipo de juegos escogeremos al personaje que queremos manejar y, dependiendo de la modalidad, también elegiremos condiciones concretas de éste como la duración, el daño, uno de los diez escenarios disponibles, etcétera. En el multijugador con Internet hemos experimentado la mayoría de partidas sin problemas lag, aunque ocasionalmente sí hemos tenido algunas incidencias con la fluidez de la conexión. Lógicamente también hay un modo práctica bajo el nombre clásico de Dojo donde podemos llevar a cabo los diferentes tutoriales de combates básicos y avanzados.




Cuando estamos eligiendo el escenario en el que combatir podemos emplear los botones superiores del pad para rotar entre las pistas de audio disponibles que escuchar durante el combate.

El de SuperBatalla, por su parte, supone una serie de pruebas que deberemos superar con algunos patrones bastante originales. Arcade, Contrareloj, Modo Puntos y Ataque KO son los que están disponibles desde el principio, el resto se desbloquean y en líneas generales son retos como contar con Ki infinito y ver con cuántos enemigos podemos acabar, obtener puntos por pelear contra un rival invencible, o plantar cara a oponentes de cada vez menor energía para luchar por mejorar nuestros tiempos.


Por otra parte en el menú inicial también contamos con el llamado Museo, un lugar donde echar un vistazo a los coleccionables y elementos desbloqueados. Aquí podremos escuchar la música del videojuego o volver a ver las repeticiones de algunos combates. Además también tenemos la posibilidad ojear las breves introducciones y biografías de los 41 personajes -con sus diferentes formas- con los que cuenta el título, u observar su modelado para las diferentes acciones pudiendo mover la cámara a su alrededor. El elemento de Enciclopedia es interesante, pero la ejecución de los diferentes personajes no es lo suficientemente brillante como para justificar la opción de su visualización, y los textos que los acompañan son demasiado exiguos para poder ser valorados positivamente como una adición de interés.
 

Avance Dragon ball:Raging Blast
elias el 09-11-2009, 14:38 (UTC)
 El primer juego basado en la famosísima serie Dragon Ball que llegó a las consolas actuales, Burst Limit, nos dejó más fríos de lo esperado. Y no porque fuese necesariamente malo (aunque tampoco era para tirar cohetes), sino porque los títulos de lucha de Goku y compañía de la pasada generación (la saga Budokai Tenkaichi) habían puesto el listón muy alto. Aún así, como era de esperar, Burst Limit tuvo una buena acogida comercial y, cómo no, los chicos de Namco Bandai pronto se pusieron manos a la obra para seguir pariendo entregas de su franquicia millonaria. El resultado ya ha caído en nuestras manos en forma de beta.

Dragon Ball Raging Blast, para PlayStation 3 y Xbox 360, será una evolución en toda regla, que no se conformará con lo visto en Burst Limit, sino que reinventará nuevamente la saga de lucha para acercarse con más intención a lo que era la jugabilidad en Budokai Tenkaichi. Una vez más los combates resultarán casi tan vibrantes y veloces como en la serie de animación. Y no lo decimos por decir, no, es cierto que el juego incluirá mejoras dinámicas durante los enfrentamientos, que se traducirán en unas ráfagas de golpes contundentes y continuos. Toda la intensidad de acción de antaño, pero incrementado por tierra, mar y aire.

Los números también se han mejorado. Aunque Raging Blast seguirá quedando en evidencia al compararse con Budokai Tenkaichi 3 (que recordemos, por ejemplo, contaba con más de 160 personajes), sí estará a años luz del raquítico contenido que presentó en su día Burst Limit. En esta ocasión se incluirán 70 personajes del manga, una cifra más que digna. Por su parte los escenarios (fieles reflejos del anime) ganarán en profundidad y tamaño. No serán muchos, la verdad, pero tan espectaculares que se perdonará la tacañería. Además, por primera vez podremos interactuar con ellos de forma directa y destruir a mansalva un elevado número de elementos.

Más y mejor también en modos de juego. El modo Historia presentará una duración considerable, con un montón de capítulos que abarcarán todo el periodo “Z” de la serie. O, lo que es lo mismo, la etapa desde Raditz hasta la lucha final contra Buu. Por fortuna esta vez el argumento no se limitará a seguir fielmente el desarrollo original del manga (que ya conocemos demasiado bien después de cien mil juegos) y también presentará situaciones alternativas que dependerán de nuestras acciones. Esto aportará frescura a la campaña. Y para los amantes de las peleas online, os podemos asegurar que seguirán existiendo, como era de esperar.

¿Qué podemos decir del apartado gráfico? Pues que se verá mejor que nunca. Quizás su aspecto visual fuese lo más destacable de Burst Limit, pero aún así Raging Blast estará un par de escalones por encima. Principalmente por dos motivos. En primer lugar, porque los personajes lucirán más creíbles y cercanos al anime, con animaciones más cuidadas de sus movimientos. Y en segundo, como ya hemos dicho, por la generosa apariencia de los gigantescos escenarios.

Otra novedad será la forma en la que los responsables del juego han sintetizado las típicas barras de salud y de energía. En lugar de ocupar la parte superior de la pantalla (como viene siendo habitual) veréis que se reducen a dos pequeños círculos situados en las esquinas inferiores. Al principio os resultará algo extraño, quizás, pero no deja de ser una novedad estética (solamente) interesante.

Esto es lo que por el momento os podemos contar del juego. ¿Será mejor que Burst Limit? Sí, bastante. ¿Superará al fantástico Budokai Tenkaichi 3? Eso ya será más difícil. Pero sí está claro que esta vez los chicos de Namco Bandai han desestimado sus limitaciones conformistas y se han empleado más a fondo para contentar a los millones de fans de Dragon Ball. Y ese esfuerzo será evidente. Ficha técnica
Salida: 13-11-09
Edad (PEGI): +12
Precio (€): 57.16€


Chaotzu contra Nappa. ¿Ansia de desquite?
Los escenarios serán así de destruibles.
Un duelo clásico
Vuelta a la jugabilidad Tenkaichi
Ataques poderosos
 

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hoa en la pagina se entra e y espero que sean muy fanaticos de dragon ball z gt y ball si no saben que es ball es dragon ball es cuando goku era chico
entren a youtube dragon ball es lo mejor
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los videos y las imagenes son lo +
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